Billets qui ont 'Brasseur, Roland' comme nom propre.

Une tablette d'avant l'iPad

Oulipo. Nous sommes très peu nombreux, cinq qui sont restés dîner, covid oblige.

Japonais. La dernière fois (à laquelle je ne participais pas) GEF a découvert qu'on pouvait y manger autre chose que du poisson cru.

Discussion sur Perec, Queneau, Roubaud. Roland Brasseur et l'histoire de Paul Vernier l'hypermnésique. Evocation de Bernard Magnier. Je donne la référence du Cinquante-quatrième jour à Sophie. D. explique qu'il fait une apparition dans ce roman à clef.

D. n'a pas de smartphone. Mais il va en avoir bientôt un car il devient difficile d'utiliser le reste de ses appareils.
— Je n'en avais pas besoin.
— Tu verras, ça ne sert que très peu à téléphoner.

Question sur le télescope James Webb.
— Toi qui t'y connais, tu pourrais me dire…
— Tu sais, sur ce sujet, je n'en sais pas plus que toi.
— Oui mais toi au moins, tu comprends ce que tu lis ou entends, tu peux imaginer les conséquences.

Nicolas s'est récemment mis au braille. Il nous montre une tablette destiné à écrire : on coince la feuille de papier et on la poinçonne.
Désormais nous connaissons tous la lettre é: c'est celle qui fait six points, deux colonnes de trois points.
Ecrire en braille, c'est comme composer en caractères de plomb: il faut écrire de droite à gauche en écriture en miroir, puisque qu'on poinçonne la feuille de points en creux avant de la retourner pour lire ces points en relief. Comme toujours, je reste admirative des capacités supplémentaires que développe un cerveau en situation de handicap.


tablette à écrire le braille

Littérature populaire

Bookcrossing. Peu nombreux, onze. Je me sens plus à l'aise que d'habitude, je ressens davantage le plaisir de retrouver des visages connus. Nous sommes au bistrot d'Edgar près de TGB. Il fait bon, la couleur de l'air est idéal.
Expo Piaf pour un certain nombre de participants.
Je présente Pas d'orchidées pour Miss Blandish. 1938. Ce livre m'a fait penser à Sanctuaire (1931: Chase avait-il lu Faulkner?)
Je repars avec Pierre Benoit que je n'ai jamais lu.
Comme j'écris ces quelques mots jeudi soir, j'ai presque terminé Pour Don Carlos (ah ces livres qui se lisent en trois heures!) Je ne m'attendais pas à ça, noir, gothique, on dirait du Barbey d'Aurevilly.
Cela me donne envie de reprendre Le cinquante-quatrième jour.
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